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Depuis tout petit, Valentin Denieul est passionné de voyages, de découvertes et de drapeaux. À l’époque, il partait en sacs-à-dos avec ses parents -en mode débrouille- et traversait unes à unes les frontières en voiture. Après ces voyages et un début de carrière dans le luxe à l’international, Valentin a lancé sa marque, Komorebi, reflétant ses trois valeurs fondamentales : la fierté, la qualité et l’éco-responsabilité.
Les pièces de Komorebi ont été imaginées pour rassembler les populations et instaurer le respect entre les cultures. « Quand on voyage, on change de pays, de culture et les drapeaux me fascinent car ils transmettent une symbolique et une histoire avec leurs formes et leurs couleurs. Les drapeaux véhiculent des valeurs propres à chacun », explique Valentin Denieul, le fondateur de Komorebi.
« Komorebi en japonais signifie, « la lumière à travers les feuilles des arbres.
Nous, on essaye de mettre de la lumière sur les drapeaux du monde. »
« En 2015, j’étais étudiant en Inde, à Mumbai. Je me suis rendu compte qu’on avait accès à tout un artisanat, une filière textile que je n’avais jamais imaginé en étant à Paris. C’est là-bas que j’ai eu l’idée de créer des t-shirts car c’est un vêtement basique que tout le monde porte. J’ai eu envie d’y ajouter un drapeau brodé au niveau du cœur, en symbole d’appartenance à une nation, à un peuple. Et en 2016 on a lancé une première production. »
Valentin connaît bien la mode et les codes du luxe. Il a travaillé chez Hermès au département maroquinerie dans l’établissement phare du groupe, au 24, rue du Faubourg Saint-Honoré, avant d’être promu en tant que contrôleur de gestion de boutiques Hermès en France. Plus tard, il quittait l’Hexagone pour Hong-Kong et intégrait la holding de LVMH en tant qu’analyste et ensuite au poste de contrôleur opérationnel pour les Parfums Givenchy « Un parcours riche en apprentissages où j’ai découvert différents savoir-faire et la qualité des produits de luxe. »
De retour en France depuis six mois, les Jeux Olympiques de Paris 2024 en ligne de mire, Valentin a décidé de se consacrer pleinement à son projet.
“Le drapeau, un signe d’amour et d’ouverture d’esprit”
« Parfois on aime porter le drapeau de notre pays natal, par fierté. On peut également porter le drapeau d’un pays que l’on a visité, ou l’on a vécu. Certains clients aiment porter des drapeaux de pays peu connus pour l’esthétique du drapeau (Kiribati ou Bhoutan par exemple. Derrière chaque drapeau, il y a un lien émotionnel. Je souhaite établir une ouverture d’esprit chez les gens. Beaucoup de problèmes sont liés à l’ignorance. Quand on comprend et on apprécie un drapeau, on se cultive et on apprécie davantage les autres. »
Komorebi propose des t-shirts Made in France unisexes, taillés du XS au XXL, dans différentes couleurs en coton recyclé. Celui-ci est tricoté à Troyes par l’entreprise Bugis. Les rouleaux de tissus sont ensuite envoyés à Roubaix dans un atelier qui confectionne les t-shirts. « On a choisi le coton recyclé car le coton bio est une matière que l’on doit produire. L’idée est d’éviter toute production de nouvelle matière et d’utiliser ce qu’on a déjà », souligne-t-il.
« Faire quelque chose de bon pour la planète
mais sans produire une nouvelle matière. »
Quant à nos drapeaux, ils sont brodés en Inde. « Là-bas, la broderie est exceptionnelle. J’ai fait des tests en France et au Portugal et la broderie et la vibrance des couleurs n’est pas du tout la même. »
Pour réduire son impact au maximum, Komorebi n’emploie aucun plastique dans ses emballages. La marque, qui bannit tout élément superflu, a choisi d’introduire uniquement dans le colis qu’elle envoie à ses clients, une petite fiche produit explicative sur le drapeau et sa symbolique, l’origine des couleurs et des formes et une enveloppe en papier recyclé.
Des ventes en précommandes et un storytelling travaillé
Si Komorebi opère une distribution en ligne via son site internet, elle privilégie aussi l’expérience client dans des pop-up stores.
Dernièrement, à Paris, la marque a ouvert un point de vente éphémère pour proposer à la vente sept fleurs du monde imprimées sur des t-shirts pour l’inauguration de la première collection Capsule intitulée « Flowers of the World ». Une production en édition limitée et 100 pour cent française, qui a attiré une nouvelle clientèle « L’avantage du concept c’est la possibilité de décliner nos motifs en capitales, régions, fleurs, monuments du monde, etc. »
Cette année, Valentin prévoit de développer sa collection axée sur le voyage avec des pantalons cargo, des bobs, des casquettes et (peut-être, dans le futur) de la maroquinerie.
Komorebi, sponsor officiel du Comité Olympique du Népal pour les J.O.
Le Népal est une autre destination qui fascine Valentin, avec ses richesses naturelles, sa philosophie, ses montagnes et ses valeurs. Si bien qu’il deviendra le sponsor officiel du Comité Olympique du Népal pendant les Jeux Olympiques de 2024 à Paris.
« Nous allons développer une collection en partenariat avec le Comité Olympique du Népal. La production sera faite là-bas et nous habillerons leurs équipes sportives », explique le fondateur de Komorebi.
« Même si nous sommes une société française, on ne peut pas tout faire en France. Produire en France coûte cher et il faut aller chercher les savoir-faire où ils sont. Nous avons été choisis par le Comité Olympique pour l’aspect social et l’impact de notre projet : « on fabrique au Népal pour et par les népalais. »
Pour le lancement de cette collection, la communication et le marketing seront axés sur l’aventure et le sport. Un film sera également tourné au Népal à l’automne pour mettre en vedette les athlètes sportives. Et pour les Jeux Olympiques, Komorebi prévoit une présence en pop-up stores dans Paris, « l’objectif étant de participer à la fête ».
À l’avenir, Valentin imagine Komorebi comme une marque forte et respectée. « Je rêve de voir broder le plus grand drapeau du monde par plein de gens, tel un rendez-vous de l’humanité… Et pourquoi pas, sortir dans le Livre Guiness des records ! »
Photos : Komorebi
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